5.4.45
Accès membres

Mon identifiant
Mot de passe
Mot de passe perdu S'inscrire
Accueil
Le calendrier des activités Par activité ou région Annoncer mon activité Déposées récemment
Les petites annonces Consulter la liste Publier mon annonce
Les professionnels par activité et région Sous forme de liste En mosaïque
Séances individuelles Sous forme de liste En mosaïque
Enregistrements audio *
Inscription Bulletin du site (gratuit) Particuliers (gratuit) Professionnels
Mon compte Ma fiche de l'annuaire Mes annonces
La charte et l'éthique
Mode d'emploi
Recherche
Envoyer un message
4444 inscrits, 523 connectés
Référence de la petite annonce : 9417
Catégorie : texte à lire
annonce déposée le : 24-09-2009
Par : ronnybzh
Tout ce qui est en bas ..... Comme c'est bizarre !

image de l'annonce 9417


Le mot épidémie vient du grec epi, sur et deimos, le peuple. D’après cette origine, une épidémie serait donc par définition quelque chose qui « tombe » sur le peuple.
 
Mais une épidémie induit généralement une notion de catastrophe, or ce mot décomposé donne, cata, en dessous, astro, les astres et phein (en grec) noir. Et que sont donc ces astres noirs si ce ne sont les planètes de notre système solaire ?
Aussi, ne serait-il donc pas judicieux d’affirmer que toute catastrophe ou épidémie a comme origine première une influence astrale ?
Mais une épidémie induit généralement une notion de catastrophe, or ce mot décomposé donne, cata, en dessous, astro, les astres et phein (en grec) noir. Et que sont donc ces astres noirs si ce ne sont les planètes de notre système solaire ?
Aussi, ne serait-il donc pas judicieux d’affirmer que toute catastrophe ou épidémie a comme origine première une influence astrale ?

Certes il y a toujours un germe pathogène qui est le vecteur de toute épidémie mais ce germe peut-il être actif sans les influences célestes qui lui sont propres ? Un virus est composé de molécules d’ADN et d’acides aminés à l’état actif ou à l’état latent mais en aucun cas un virus ne meurt. Celui de la grippe espagnole de 1918 a été retrouvé à l’occasion ici ou là, cela n’engendre pas pour autant une pandémie(1), les influences célestes en rapport avec ce virus n’étant pas actives.

Dans la nature tout est régi par des lois biologiques en étroite collaboration avec les influences astrales, « ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et inversement » disait Hermès Trismégiste. Que vous plantiez des oignons de tulipe au mois d’août ou bien au mois de janvier, ils ne pousseront qu’au printemps conformément à leur cycle biologique. Il en est de même pour tous les germes pathogènes qui présentent chacun un cycle biologique propre. Par exemple quand débute une épidémie de polio sa durée est de 22 ans avec ou sans vaccination ; quand aux épidémies de grippe saisonnière, elles ne se produisent qu’en hiver bien que le virus vive également en été.
 
Le virus H1N1, un cadeau du ciel ?????

Quand on évoque l’idée de cadeau du ciel devant la pandémie de grippe H1NI de 2009 la première pensée va généralement vers laboratoires pharmaceutiques qui vont faire des profits colossaux, certes… ! Mais nous citoyens du monde comment pouvons-nous faire pour transformer en cadeau du ciel ce « fléau » tant annoncé ?
Et si nous nous retournions vers l’épidémie de grippe espagnole ?

« En 1918, après la première guerre mondiale, l’épidémie frappe les États-Unis. En 4 mois, elle terrasse 80 millions d’habitants sur le globe. Elle touche plus particulièrement les jeunes et les femmes enceintes. Bien souvent, le matin en pleine forme, le soir décédés. En 1921, les statistiques démontrent les forces de l’homéopathie. Le docteur T A Mac Cann, de Dayton en Ohio, rapporte que sur 24 000 cas de grippe traités à l’allopathie, le taux de mortalité est 28.2 % tandis que chez 26 000 personnes traitées à l’homéopathie, le taux de mortalité est 1.05 %, et le taux était le même pour W.A. Pearson de Philadelphie sur 26 795 cas. Chez certains homéopathes, les taux de mortalité étaient même inférieurs à 1 % la majorité des cas était sous Gelsemium et Bryonia, qui ont paru les guérir totalement. ».

Selon la ligue médicale homéopathique internationale, les homéopathes mexicains viennent d’identifier indirectement, grâce aux comptes-rendus de médecins hospitaliers les symptômes de la grippe H1N1 (Fièvre - Faiblesse généralisée sans prostration extrême - Transpiration abondante pendant la fièvre - Mal de gorge - Toux peu fréquente - Arthralgies constantes touchant les mains, les coudes et les épaules au pic fébrile - Céphalée rétro-oculaire et douleurs dans les globes oculaires (« J’ai mal aux yeux ») - Céphalée occipitale et douleurs de cou aggravées en ayant la tête relevée sur un oreiller avec caractère pulsatile des douleurs occipitales chez certains - Complications : Pneumonie avec multiples foyers interstitiels infiltrés et toux productive avec expectoration jaunâtre).

Or, l’étude de l’ensemble de ces symptômes correspond à deux remèdes homéopathiques, Gelsemium et Bryonia. Les mêmes que pour la grippe espagnole ! Tiens, tiens comme c’est étrange ! En réalité pas du tout puisque le virus de la grippe espagnole était le…H1N1… !

Or, en plus de leur double capacité à prévenir et à soigner la grippe H1N1, ces deux remèdes homéopathiques possèdent des symptômes mentaux en rapport avec la crise économique actuelle : Gelsemium, trac, anticipation, peur d’entreprendre et Bryonia, peur de la pauvreté.

Ainsi, tout semble se passer comme si le ciel envoyait une épidémie pour que, en prévenant et en soignant cette épidémie par des moyens naturels, en l’occurrence l’homéopathie, toute l’humanité puisse se libérer de ses appréhensions et de ses peurs face à la crise économique.

Avec Gelsemium, les appréhensions, la paralysie ou la peur d’entreprendre vont faire place à la sérénité et à l’esprit d’entreprise et avec Bryonia ce sera la peur de la pauvreté qui sera fortement diminuée. Ainsi, en donnant Gelsemium à une grande partie de l’humanité, toute l’économie mondiale actuellement paralysée par la frayeur et le spectre de la récession pourrait repartir. D’ailleurs ne dit-on pas d’un moteur qu’il est « grippé » lorsqu’il est bloqué et n’y a-t-il pas le mot GEL dans Gelsemium, le principal remède de la grippe. Ainsi Gelsemium semble tout à fait indiqué pour « dégripper » l’économie mondiale à condition de le donner à un très grand nombre bien évidemment et à doses élevées :-)))))))))))))
 

Précédente Suivante
Cette page, mise en ligne le 24-09-2009, a été consultée par 364 visiteurs
Sites partenaires - Contact - Flux Rss - Mode d'emploi - Charte