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Référence de la petite annonce : 22620
Je propose dans la catégorie : texte à lire
annonce déposée le : 01-01-2013
Par : kinesioluce
L'auto-guérison

L'auto-guérison

Il n’y a pas d’ordre de grandeur dans

les symptômes, les maux, les maladies 

qui viennent  nous chatouiller!


Ceci est déjà “une 1ère couleuvre” pour certains à avaler. J’en conviens!
Alors je vais enfoncer le bouchon le plus loin possible.
Même pas peur du soulèvement de réactions de certains, “Peur de rien”, la nana!

Tout comme il est dit dans “Un cours en miracles” qu’il n’y a pas d’ordre de difficulté dans les miracles
“Aucun n’est plus dur ni plus gros qu’un autre. Ils sont tous les mêmes. Toutes les expressions d’amour sont maximales”

En fait, la notion de grandeur est une invention de notre mental pour mieux jouer le jeu de la dualité, le jeu de la séparation:

Voici quelques exemples très parlants de cette notion “d’ordre de grandeur”, de séparation que nous jouons avec les autres:
  • Depuis notre tendre enfance, avec le système de notation à l’école qui crée littéralement la division entre élèves: les bons, les moyens et les mauvais jusqu’au cancre!
Autant dire qu’il vaut mieux se retrouver du côté des bons que du côté des mauvais, au risque de développer déjà au plus jeune âge, quelques symptômes comme cataclysme s’extériorisant au sein de la classe ou cataclysme interne qui pourra, semble-t’il, créer quelques simples maux de ventre, sommeiller d’une manière latente pour se manifester peut être enfin à 40 ans sous forme d’un cancer de..., rongé par la dévalorisation vécue depuis l’enfance! 

Mais le bon élève n’est pas sans risque de développer, lui aussi quelques symptômes...
  • un autre exemple très parlant est celui des couches sociales avec les riches, les classes moyennes et les pauvres.

Ce sont des instruments de notre société, créés par l’homme de toute pièce, qui conduisent à vivre les thèmes de l’injustice, l’impuissance, la culpabilité, la peur de l’échec, la peur du manque...La grande pièce de théâtre que nous avons choisie de vivre tous ensemble.
C’est donc bien  par le fruit des capacités de notre mental que ces deux grands thèmes de la séparation ont été mis en place.

Il n’y a pas d’ordre de grandeur entre les hommes. Nous naissons avec des qualités différentes afin de nous compléter tous. C’est tout simple. Chacun naît avec un but que chacun seul peut accomplir au cours de son incarnation.

  Mais la plus grande division que nous vivons au quotidien, c’est avec nous-même que nous la jouons. Elle concerne entre autres tous les symptômes physiques, en passant par les désordres psychiques  jusqu’à la maladie déclarée.

Nous avons un pouvoir créateur immense, infini auquel nous ne croyons pas car nous ne croyons pas en nous, en nos capacités. Mais

nous sommes des êtres divins.


Alors là, cette couleuvre est encore plus grosse?
Non, car Il n’y a pas d’ordre de grandeur. (hi,hi,hi)

Il n’y a pas d’ordre de grandeur dans les symptômes, les maux, les maladies qui viennent  nous chatouiller.

Nous sommes des êtres divins qui avons un pouvoir d’auto-guérison à développer. Chacun étant unique, il n’y a pas une recette à appliquer pour tous.
Ou plutôt si! Il y a une recette dite “miracle”. Oui car je vous invite vraiment à croire aux miracles, à invoquer les miracles pour votre cour: pour tous ceux qui vous entourent à commencer par vous-même!

Développons notre pouvoir d’intention!


Si la foi peut déplacer des montagnes, elle peut bien créer quelques guérisons, non? N’est-ce pas déplacer une montagne lorsqu’une femme est capable de soulever une voiture pour dégager son enfant? N’est-ce pas un miracle lorsqu’une personne condamnée par la médecine, diagnostiquée cancéreuse, se retrouve “guérie” après avoir plongé dans la méditation, la visualisation ou toute autre technique?

Aujourd’hui, la diversité des techniques est immense, justement afin de répondre à l’unicité de chacun. Et nous n’en sommes qu’au début. Car si nous sommes 7 milliards d’individus, il y a donc 7 milliards de techniques à trouver. Mais c’est à chacun de trouver la sienne.


  Alors je dois commencer par moi! 
Mes symptômes me semblent parfois des montagnes infranchissables. Alors je m’en remets à l’extérieur aux médicaments, aux médecins.
Mais si je crois autant à l’auto guérison, je dois le prouver d’abord à moi-même!

Je dois affronter mes peurs (toujours issues du mental) de ne pas y arriver.

“JE CROIS EN MOI”.


Cette simple phrase  fait référence au domaine de la croyance et donc à la spiritualité. Avoir la foi non pas en un Dieu extérieur mais en un Dieu qui se trouve à l’intérieur de nous. Nous sommes tout pouvoir. Il suffit d’y croire pour soulever  une montagne. La plus grosse étant notre forteresse que nous nous sommes construite.

La lecture d’un article sur internet m’a rappelée cette légende:

“Une vieille légende hindoue raconte que tous les hommes étaient des dieux qui un jour abusèrent de leur pouvoir divin. Brahma qui était le maître des dieux décida de cacher aux humains leur divinité dans un endroit où il leur serait impossible de la trouver, dans le seul endroit où ils ne penseraient pas la chercher, c'est-à-dire au plus profond d'eux-mêmes.”


Vous me direz que c’est une légende. Et si cette légende avait un fond de vérité pour ne pas dire que c’était une vérité toute entière?

“JE CROIS EN MOI”.


Comment aider les autres à croire en eux si je ne crois pas en moi? Vantardise!
Il me faut remettre en question toutes les croyances auxquelles j’ai adhéré pour ne pas croire en moi.
Par exemple que ce n’est pas faire preuve de vantardise que d’affirmer de tels propos. Que j’en suis capable. Que ce n’est pas mal que de se glorifier.
“Gloire à toi, Odile, particule divine, qui est aussi capable de soulever ta propre montagne que cette femme qui a été capable de soulever une voiture pour sauver son enfant.'
Sauver son prochain, soit! Mais commençons par se sauver soi-même!!!

Une seule chose est à faire: à développer, à amplifier: ma foi en moi. Etendre ma foi jusque dans mes cellules qui régissent toute l’organisation interne.
De la même manière que l’on peut admirer l’horlogerie lorsque l’on ouvre une montre mécanique, on peut admirer toute l’organisation interne de notre corps. Merci à la création pour ce chef d’oeuvre de réalisation!

“Mes cellules, mes organes, mon squelette, mes liquides, ma peau, mes cheveux, je vous aime”


J’en pleure  à chaudes larmes que d’écrire cette phrase.
Mais je sais que c'est la voie vers une unification plus grande avec moi-même. C’est encore une fois, mais sous un autre éclairage, me dire:

“JE M’AIME”


C’est la guérison qui opère. C’est l’amour qui coule en nous lorsque nous décidons de quitter la grande scène de la séparation, acte ???, scène??? Il y en a tellement. Je ne sais plus où j’en suis.

Je décide que c’est, maintenant, ici, la scène finale, scène héroïque, où je joue le rôle principal évidemment.

Je m’aime
Je vous aime
Je nous aime
Namaste

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Cette page, mise en ligne le 01-01-2013, a été consultée par 730 visiteurs
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