Et c’est une histoire fascinante car elle corrobore les informations que j’ai reçues des initiés avec qui j’ai été en contact pendant la majeure partie des 20 dernières années. La plupart de ces gens ne se sont jamais avancés au grand jour. Je n’ai pas divulgué ces informations sur internet, et ceci fait qu’il m’est facile de distinguer quand quelqu’un d’autre arrive et parle de ces mêmes choses dont j’ai déjà entendu parler.
Et je suis ravi d’avoir maintenant l’opportunité de finalement pouvoir discuter de tant de points dont il n’était pas possible de parler avant, et d’avoir Corey pour cette émission. Alors Corey, merci d’être ici, mon ami.
CG: Merci
DW: Nous avons parlé de l’Opération High Jump. Nous avons parlé de l’effort qui a été fait pour déloger une cellule Allemande en Antarctique et de la résistance acharnée qu’ils ont rencontrée là-bas. Alors pour commencer, quelle était la première méthode utilisée pour arriver à faire des vols dans l’espace ?
CG: Au commencement, ils ont réussi avec leurs propres ingénieurs à développer de la technologie par eux-mêmes, également ils ont parcouru l’Orient à la recherche de documents anciens dont ils avaient entendu parler et selon les indices reçus par des ‘canalisations’ qu’ils croyaient provenir d’êtres non-terrestres, suite aux tentatives de certaines sociétés secrètes allemandes ésotériques. Et ceci a incité d’autres sociétés secrètes à partir en expéditions à la recherche de ces anciens textes orientaux.
DW: Où croyaient-ils trouver ces textes? À plusieurs endroits?
CG: À plusieurs endroits, dans des zones du Tibet, de l’Inde. Beaucoup de gens avaient entendu des histoires d’anciens engins volants équipés d’armements très avancés.
DW: Les vimanas.
CG: Oui, les vimanas, cela ressemble à un roman de science-fiction mais cela remonte à des dizaines de milliers d’années. Et les érudits occidentaux les ont repoussés du revers de la main comme étant de la fiction, de la science-fiction, en avance sur son temps. Ces groupes allemands, ils croyaient plus au mariage de la science et des croyances ésotériques, et ils ont décidé de suivre les pistes indiquées lors de canalisations, et sont partis localiser ces documents.
DW: Est-ce que les êtres qui faisaient les canalisations ont donné des coordonnées spécifiques des endroits où trouver ces textes?
CG: Oui.
DW: Vraiment?
CG: Ils leur ont dit qu’ils se trouvaient sous certaines chaînes de montagnes dans des régions qui avaient fait partie d’une civilisation avancée, et ont été oubliés par les humains de l’époque moderne, mais de nombreuses congrégations de moines les connaissaient et les avaient conservés, cela faisant partie de leurs enseignements secrets.
DW: Dans les épisodes précédents nous avons parlé assez longuement de ces Agarthiens, et vous avez dit que c’était un groupe de blonds Nordiques qui vivaient à l'intérieur de la Terre.
CG: Certains d'entre eux, oui.
DW: Certains d'entre eux vivaient à l'intérieur de la Terre?
CG: Certains d'entre eux étaient des Nordiques blonds.
DW: Oh, et vous avez dit que les Allemands préféraient travailler avec eux plutôt qu’avec les Dracos, une sorte de reptiliens.
CG: Exactement.
DW: Alors, pourquoi les Agarthiens… je suppose, tout d'abord, que c’était les Agarthiens qui étaient canalisés par ces sociétés secrètes… est-ce vrai ou pas?
CG: Voilà une question sur laquelle il est difficile de spéculer parce que, Orrick et ces différents groupes, ils semblent avoir été en contact avec plusieurs groupes différents.
DW: Plusieurs groupes ET différents?
CG: Des groupes extraterrestres et aussi des anciens groupes dissidents de la Terre, il est donc difficile de déterminer quelles informations provenaient de quels groupes. Durant la fin des années 30, je crois, on leur a demandé de dessiner une image de l’entité avec qui ils étaient en communication. Et le dessin de la tête et les traits du visage de cet être…
DW: C'est un visage qui semble effrayant.
CG: Oui… et il avait des caractéristiques très intéressantes, similaires aux Gris.
DW: Oui, en effet, mais les yeux ne sont pas aussi grands. Mais la tête est vraiment grande, et puis il a ce minuscule petit menton.
CG: Oui, mais les Allemands ont été amenés à se diriger vers les zones des montagnes de l'Himalaya, dans des expéditions massives vers l'Orient, afin de récupérer ces documents, et cela d'une manière pas très éthique. Ils allaient dans ces villages et ces monastères et, sous la menace des armes en fait, ils ont pris ces parchemins et livres, et les ont ramenés en Allemagne.
DW: Voulez-vous dire que les textes en question étaient situés dans des monastères de type bouddhiste tibétain ?
CG: Mm-hmm, pour beaucoup d'entre eux, et également beaucoup d'autres dans des systèmes de grottes, ces textes avaient été placés là. Et ils avaient été scellés dans les montagnes.
DW: Dans le cas où ils parviendraient à entrer dans l'un de ces systèmes de grottes, y aurait-il des indications que ce qu'ils trouvaient était un vestige d'une civilisation avancée, et non de simples documents cachés?
CG: Eh bien, à partir de ce que j’ai vu, directement sur les tablettes de verre intelligentes, c’était en bois, semblable à des étagères, sur lesquelles étaient alignées des tonnes de parchemins et de livres reliés. Et beaucoup d'entre eux avait des informations d'ordre médical, je veux dire, toutes les différentes sortes, je suppose, d'enseignements et de médicaments secrets, et des informations de technologie secrète.
DW: Ces cavernes étaient-elles naturelles, ou cela avait-il une apparence lisse, comme avec le matériel de la race des Anciens Constructeurs, dont vous avez parlé auparavant?
CG: C'étaient des cavernes naturelles.
DW: Des cavernes naturelles.
CG: Oui, et quand certains de ces livres subtilisés ont été ramenés en Allemagne, quand ils les ont ouverts et ont commencé à les parcourir, les ingénieurs allemands ont été stupéfaits de voir que c'étaient des plans technologiques.
DW: Quand vous parlez de parchemins, j’imagine que ce serait quelques vieux morceaux de papiers froissés tout brunis.
CG: Eh bien, certains d'entre eux étaient des parchemins. D’autres étaient en fait des livres reliés.